J'INVITE !!

"A la manière de Zola qui accuse, moi J'INVITE !! Toutes les personnes qui font des rêves à me contacter par msn ou bien par email pour devenir acteur de notre patrimoine astral ! En effet, je vous annonce l'ouverture de Mémoire Onirique, ce projet sera de poster le plus souvent possible et sans tabou (si cela faire se peut) nos rêves quotidiens. On remarquera après plusieurs mois de posts que les rêves se ressemblent et on en déduira que nos vies sont liées et marquées par des évenements du cher subconscient . Ou alors, le contraire... Merci de me contacter au plus vite."
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samedi 6 octobre 2007

La Ceinture Verte

J'arrive au Dojo, le prof de kung fu vient me parler... Je lui explique pourquoi j'ai arrêté, problèmes de santé. Il me dit que comme j'ai toujours été le plus talentueux je mérite cette ceinture même sans recevoir d'entrainement : la ceinture verte. Je vais à un entrainement malgré mon coeur faible; tous les autres sont en blanc. Mais moi je suis en habits noirs avec ma nouvelle ceinture verte...

vendredi 5 octobre 2007

Dessine !

J'étais à une sorte de forum des métiers, on voulait m'apprendre à dessiner. Je sors alors mon carnet pour montrer que je suis un amateur du dessin. Cependant, mon carnet était vide.

mercredi 3 octobre 2007

Bienvenue les Dauvois !

Dans la chambre de mes parents, tous les Dauvois étaient là. Avec Jules on parlait de bouquins; Selon lui je devais absolument lire Harry Potter. Léon lui était allongé et lisait quelque chose... Leur Père lui s'est levé et est parti dans ma chambre pour utiliser mon pc.

J'ai aussi rêvé que Julien était devenu le voisin de mes grands parents; Je lui apportait un sac à dos avec le serveur dédié de RO.

mardi 2 octobre 2007

Il Faisait Jour la Nuit

Il faisait jour, j'étais au Colombier. On disait de moi que j'étais en retard au lycée.

J'arrive près d'une villa. Je rentre et vais dans leur jardin, il fait nuit. Je me retrouve nez-à-nez avec une fille nue, elle me fait des avances. Je crois avoir accepté. Après, étrangement, il fait jour. Et ses parents ainsi que son mari sortent de la villa. Ils la tuent, je sors un révolver de ma poche et j'en fais autant.

Je me réveille au cinéma, je sors et croise Benjamin. On s'engueule et se prend la tête. Je lui reproche la manière dont lâchement il a usé pour m'abandonner. Il m'offre des tickets à gratter de la française des jeux. Je les jette à terre "Un pardon aurait tout arrangé dés le départ, désormais c'est trop tard...". Je le suis jusqu'au Mag-Nab où il doit jouer, mais arrivé aux toilettes du Théatre il disparait. Je retourne en ville et gratte les tickets qui étaient toujours à terre. J'ai gagné 3000€...

lundi 1 octobre 2007

La bonne note

M. Favière nous rend nos DM, malgré que le mien soit hyper baclé, je reçois un 18.
Ensuite je me souviens vaguement avoir reçu une formation de combat au corps à corps.

dimanche 30 septembre 2007

I Have Owned Thee

Bon, je vais tenter de raconter mon rêve de cette nuit. Je ne me souviens pas de tout, et tairai peut-être ("sans tabou si cela faire se peut") certains détails, plus ou moins importants.

Tout commença tandis que je revennais de ma répétition avec l'Orchestre d'Harmonie, le vendredi soir vers dix heures. Je dépose la boîte de ma clarinette basse à la verticale, près de ma guitare éléctrique (elle-même dans sa housse). Geste hebdomadaire et habituel que je n'avais effectués pas plus tard que vendredi dernier. Sur mon bureau, une carte postale se tient sur ma pile de courrier, soit une lettre en Allemand venant d'une demoiselle prénommée Isabel, un petit mot reçu d'une amie qui vient de commencer ses études à Tours et le début d'une lettre qui n'a pour auteur que moi-même. La carte postale vient de la Rochelle, je redoute déjà les mots griffonés au dos, seize mois de retard, tout de même...

I HAVE OWNED THEE

Cela était suivi de la douce signature de ma très charmante correspondante. Horrifié, je perds le fil du rêve pendant un temps et suis incapable de vous décrire les évènements qui suivirent ma lecture.

Quelques jours plus tard, je me retrouve avec deux filles qui eurent la chance de m'avoir pour camarade de classe durant leur année de seconde. Nous sommes sur les marches menant à la cantine du lycée E. Vaillant. Pourtant, même si j'en ai aucun souvenir, je suis certain qu'aucune cantine ne se tenait derrière nous. J'observe la foule devant nous. Une jeune fille, tout juste 18 ans, se tient sur une rampe que je peinerai à retrouver dans un contexte réel. Il s'agit bien entendu de celle qui m'a envoyé la carte postale, celle-dont-le-visage-ne-peut-me-revenir-qu-en-rêve. Elle m'esquisse un sourire timide et crispé. Je suis le seul à la reconnaitre, pourtant l'une des filles qui m'accompagnent compte parmi ses meilleures amies. Je m'approche d'elle. Elle m'explique pourquoi elle est ici, mais je ne m'en souviens pas; ça pouvait être un truc aussi absurde que "pour cueuillir des framboises" ou encore "pour manger du Paris-Brest", ça ne devait avoir aucune espèce d'importance, et je la suis.

Nous parcourons le lycée, mais ce n'est pas tout à fait le lycée. D'une dimension Cthulhesque, le lycée E. Vaillant présentait d'innombrable salle qui m'était inconnue. Du moins elles m'étaient inconnues dans le cadre du lycée réel. J'y retrougvais des lieux que je n'ai pas vu depuis des années, des pièces de ma propre maison (j'y ai même vu des pièces de maisons d'autres, telles que les toilettes de chez deux fameux frêres... wtf?), des lieux que j'ai vu au cours de mes voyages, Dresde, Chicago, Galway, Assouan, tout y était. J'ai aussi reconnu des lieux beaucoup plus lointains, des lieux traversés dans d'autres rêves, des lieux rencontrés dans des livres tels que La Tour Sombre, ou dans des jeux tels que Myst. C'était une succession de déjà vu assez étrange, je dois l'avouer. Mais nous n'entrames pas dans ces salles. Nous arpentions les interminables couloirs, poussant des doubles portes battantes de plus en plus lourdes. Dans ces couloirs, j'ai croisé des gens que je connaissais plus ou moins. Certaines proches, d'autres que j'avais totalement oubliées, des rencontres oniriques aussi. Pendant ce temps nous discutâmes, et je lui exposa tout ce que je lui aurais (ai) écrit dans une lettre.

Lorsque je me suis réveillé, nous étions au bord d'un immense gouffre aux allures minières. Ce gouffre prenait place à l'emplacement du gymnase. Je crois que l'un de nous deux est tombé, mais l'identité de celui-ci n'a aucune importance.

Et puis, je me suis réveillé.

Bon, voilà pour cette nuit, du moins en résumé. Je précise que les premières lignes (celles avant la phrase en gras et en italique qui répête le titre, vous intuitez) se sont déroulées également dans le monde réel.

Quatre Aventures dans Vierzon

Cité Sellier:
Je suis dans la cité Henri-Sellier, c'est l'Automne. La ville a un ton sépia. Dans la rue, je m'avance vers un groupe de personnes allongées sur un trottoir. J'en connais une, Amaury -- j'ai été en 6°F avec. Il me propose d'aller voir un concert, j'accepte.

File d'attente du concert:
Dans une salle qui ressemble plus a une piste de skate-board qu'à une salle de concert, on distingue trois files, mais une seule semble atteindre quelque chose : la file centrale. Cette dite file mène a un autel avec dessus une grande représentation en or massif de Bouddha. J'ai envie de toucher Bouddha moi aussi... Alors je m'avance sur la file de droite, personne n'occupe ni celle ci ni celle de gauche. Je me rend compte que de ces files, on ne peut pas l'atteindre. Alors j'essaye de passer par dessous le cordon de sécurité mais un gars avec un tambour me dit :
"Hey ! On ne gruge pas !!
- J'étais là depuis des heures je peux pas changer de file ?
- Non..."
Dégouté, je retourne dans la rue pour rentrer chez moi.

Sauts dans la rue:
Je sors, et j'arrive devant Pat-à-Pain d'à côté de chez Léon en centre-ville. Je rencontre Samia Zitouni, elle me propose de me raccompagner chez moi. J'accepte. Après plusieurs fous rire on entame notre voyage mais sans que je m'en rende compte, elle disparait. Moi, j'avance à grands pas; Ou plutôt, à grands sauts. Je saute, au dessus des gens, je saute, au dessus des voitures, je saute... Et Samia disparait. Pendant que je saute je remarque que je suis dans un quartier de vieux pèquenauds paysans. Ils m'interpellent pendant mes sauts, alors je coure chez moi... Sans sauter.

Agression chez moi:
Devant mon portail, ma grand mère m'attend. Ou plutôt, quelque chose avec l'apparence de ma grand mère m'attend... Elle veut rentrer, je lui interdis. Je saute directement de devant le portail à mes escaliers avec le téléphone en main...
"- 18... Merde c'est pas ça *raccroche*, 17... *sonne*" Mon coeur commence à battre, je le sens.
"- Police Secours j'écoute ?
- Al... allo... On veut rentrer chez moi, un individu... un cambrioleur je sais pas !! VENEZ !! 6 bis rue XXXXXXX ! Pitié venez !!
- Votre nom ?
- Monsieur NXXXXX... LXXXXX NXXXXX...
- Bien comptez jusqu'à 10 *raccroche*"
Et elle était chez moi, je le sentais je l'entendais... Je jette le téléphone dans les escaliers qu'elle s'apprête à monter puis je rush la chambre de mes parents, je soulève le matelas et les lattes pour me cacher dessous. Mais j'entends des pas dans les escaliers... C'est elle, je le sens; Je le sais ! Je n'ai plus qu'à sortir de mon lit pour la frapper jusqu'à ce que je me réveille...