J'ai rêvé que je voulais rentrer chez moi en voiture et que je croisais benjamin, je suis descendu pour lui régler son compte...
Ensuite j'ai rêvé qu'un groupe de personnes et moi étions poursuivis, je me suis caché dans le grenier d'une sorte de confiserie.
lundi 31 décembre 2007
dimanche 30 décembre 2007
Allons à Londres!!
J'ai rêvé que je prenais l'eurostar pour aller à Londres, et j'étais assis à côté d'une japonaise qui m'a payé ma place. Gentil de sa part...
vendredi 28 décembre 2007
mercredi 19 décembre 2007
Smartphone!
J'ai rêvé que Ian avait le même smartphone que je compte m'acheter pour noël. C'était en cours de français, il était assis à ma gauche et Joffrey était à sa gauche aussi. On était au premier rang tout devant tout à gauche.
mardi 18 décembre 2007
la veille voleuse de joues
On venait de prendre les affaires de sport chez Anaïs puis on retournait vers son ascenseur (qui a quelque chose d'effrayant), a peine avait-on commencé a marcher qu'une vieille (une de ses voisine que j'avais aperçu mardi dernier ) sort du mur avec une sorte de petit couteau et d'un air pas commun pour une personne de cet âge. Elle nous fixe, s'approche, du sang coule autour de sa bouche et elle nous dit d'une voix qui rappelle les zombies "Je veux vos joues, je les veux, donnez les moi!"; Alors Anaïs et moi crions et nous précipitons vers l'ascenseur, il met un temps fou pour arriver. Enfin, il arrive,nous plongeons a l'intérieur et j'appuie sur n'importe quel bouton mais l'ascenseur ne répond pas. Puis un bruit assourdissant se fait entendre , la vieille arrive a ouvrir les portes de l'ascenseur, alors on se recroqueville dans un coin. C'est alors que je me réveille .
Je ne regarderai plus jamais la vieille de la même manière.
Je ne regarderai plus jamais la vieille de la même manière.
Fautes corrigées tu crains ! T'as carrément oublié des mots et marqué "veille" au lieu de "vieille" !!
dimanche 16 décembre 2007
Quinté+
1) J'étais dans une grande grande villa, ou du moins. Une grande maison. Celle des Dauvois je crois. Je me suis retrouvé à me masturbé devant tout le monde O__o
Ensuite j'étais dans une chambre avec Floriane qui refusait de coucher avec moi. Résultat de quoi je lui ai dit "Tant pis pour toi je vais m'occuper moi même de moi!".
2) Dans les escaliers je me suis mit à gueuler sur thibault.
3) J'hurlais en ville à Floriane qui était 100m plus loin que j'allais m'acheter un smartphone.
4) J'étais un professeur de ballistique au Lycée Édouard Vaillant. On était devant le gymnase qui me disaient qu'utiliser "q" dans une formule était impoli.
5) J'étais dans les escaliers à écouter Fun Radio (wtf?) et j'ai entendu Fingerprint de Fleurety... Après quoi un gars à coté de moi jouais de la guitarre à deux manches et jetais des capotes en bas des escaliers qui étaient devenus une boite de nuit...
Ensuite j'étais dans une chambre avec Floriane qui refusait de coucher avec moi. Résultat de quoi je lui ai dit "Tant pis pour toi je vais m'occuper moi même de moi!".
2) Dans les escaliers je me suis mit à gueuler sur thibault.
3) J'hurlais en ville à Floriane qui était 100m plus loin que j'allais m'acheter un smartphone.
4) J'étais un professeur de ballistique au Lycée Édouard Vaillant. On était devant le gymnase qui me disaient qu'utiliser "q" dans une formule était impoli.
5) J'étais dans les escaliers à écouter Fun Radio (wtf?) et j'ai entendu Fingerprint de Fleurety... Après quoi un gars à coté de moi jouais de la guitarre à deux manches et jetais des capotes en bas des escaliers qui étaient devenus une boite de nuit...
lundi 10 décembre 2007
dimanche 9 décembre 2007
Kevin!!
On était dans un train, avec Pierre (Dri). Il était en marche vers la Martinique. On allait voir mon cousin Kevin. Une fois le train arrivé, nous débarquâmes sur une sorte de berge. Et puis, pour arriver à la chambre de Kevin, on devait traverser une sorte de mare aux requins, l'eau était bleu-verte. Ce qui fut étrange, c'est que Pierre regardait les CD de Kevin et discutait avec lui de batterie.
vendredi 7 décembre 2007
jeudi 29 novembre 2007
Allons à Bourges!
J'ai rêvé que j'allais à Bourges avec ma mère et Simon. Mais, je ne voyais pas la route. J'étais comme aveugle, je roulais donc à l'aveuglette...
Après dans un autre rêve, ma mère buvait de l'alcool. Puis elle s'est mise à vomir, alors je l'ai frappée tout en tenant ses cheveux.
Après dans un autre rêve, ma mère buvait de l'alcool. Puis elle s'est mise à vomir, alors je l'ai frappée tout en tenant ses cheveux.
vendredi 23 novembre 2007
Ian must die!
Nous sommes en cours, je rentre avec Floriane et Simon. Le cours est fini, alors nous sortons dans le couloir pour récupérer nos sacs. Cependant, Ian s'approche :
"J'ai planqué vos sacs dans l'internat, bon courage !"
Il sourit. Je me met à le bousculer violemment pour témoigner de ma colère. Il réplique par sa force de poisson pané. Je le frappe, encore, je le frappe. Je casse, je craque, croque. Il gît à terre dans un bain de sang. Je cache le corps et me retrouve soudainement dans une salle d'arcade gigantesque. Je veux jouer à un jeu avec Floriane, mais il coûte cher. Alors je m'en vais. Le patron me dit qu'il veut bien me donner les six euros, car il est au courant pour ma copine.
Je m'en vais de ce lieu, et un agent de police me dit qu'il sait ce que j'ai fait.
"J'ai planqué vos sacs dans l'internat, bon courage !"
Il sourit. Je me met à le bousculer violemment pour témoigner de ma colère. Il réplique par sa force de poisson pané. Je le frappe, encore, je le frappe. Je casse, je craque, croque. Il gît à terre dans un bain de sang. Je cache le corps et me retrouve soudainement dans une salle d'arcade gigantesque. Je veux jouer à un jeu avec Floriane, mais il coûte cher. Alors je m'en vais. Le patron me dit qu'il veut bien me donner les six euros, car il est au courant pour ma copine.
Je m'en vais de ce lieu, et un agent de police me dit qu'il sait ce que j'ai fait.
mercredi 21 novembre 2007
A la demande express de Mitternacht...
... je m'en vais vous raconter mon wtf de rêve de cette nuit...
Je erre dans les rues, à la recherche de quelqu’un (je crois que c’est Thierry Ardisson, il est avec Claire Chazal Oo) et j’arrive à une sorte de fourche, dans des rues genre rues de villages avec des pavés. Deux rues se présentent devant moi. Celle de gauche monte vers ma destination (j’en suis presque sûre) et celle de droite va je ne sais où. Je m’apprête à aller à ma gauche quand un individu fort louche, qui porte une veste en cuir marron, m’arrête et m’encourage à prendre celle de droite. Pour me la montrer il montre une main aux doigts très longs et très fins, mais à laquelle il manque l’annulaire gauche. Je le suis, malgré moi car il m’empêche de partir. Arrivée devant un gigantesque mur marron, se dressant devant ce que je devine être sa maison, un bébé me saute dessus (sisi !) pour me tenir le temps que le maître de maison ouvre la porte qui s’y trouve encastrée. Je profite de ce détournement d’attention pour mordre la main du bébé (je lui fais un trou en plein milieu du dessus de sa main, de la taille d’une main adulte, d’ailleurs). Je peux donc m’enfuir, car il m’a lâchée (je ne sais pas pourquoi, je suis persuadée que le bébé a trois mois).
Je m’en vais en courant et me réfugie dans ce qui semble être l’appart de Catie et Shanda (et franchement je me demande ce qu’elles viennent foutre là) et je leur dis de se barrer à cause du violeur. Elles décollent de la télé qu’elles regardaient (avec le mec que je cherchais dessus !), se penchent à la fenêtre tandis que je dévale des escaliers (que je ne me souviens pas avoir montés) pour me retrouver dans la rue que je viens de quitter, au carrefour du début mais dans la rue qui monte, tournée vers le mur de l’autre taré. Elles m’encouragent, je crois.
Je retrouve, au milieu de la rue, ce qui semble être un comité de vengeance des victimes puisqu’il y a une quinzaine de personnes dont deux mecs (Lénaïc et un que je ne connais pas) et la fille en face de qui j’ai mangé hier midi ^^, qui fument et attendent l’autre pervers pour le tuer. J’aimerais bien qu’on me file une clope aussi, histoire de me calmer, alors j’en demande une à Lénaïc qui me dit qu’il n’en a plus, et le mec assis en face de moi, qui mange un énorme plat de frites m’en donne une grosse poignées. Un bol de rhum apparaît immédiatement devant moi et j’y plonge les féculents (je semble croire que ça me donnera des cigarettes. Le pire c’est qu’après je les fume…Oo).
Bref, après bien des palabres, le mec se pointent et on lui saute tous dessus. Et je me réveille.
Un grand wtf j’vous disais…
Mitternacht, explications ?
Je erre dans les rues, à la recherche de quelqu’un (je crois que c’est Thierry Ardisson, il est avec Claire Chazal Oo) et j’arrive à une sorte de fourche, dans des rues genre rues de villages avec des pavés. Deux rues se présentent devant moi. Celle de gauche monte vers ma destination (j’en suis presque sûre) et celle de droite va je ne sais où. Je m’apprête à aller à ma gauche quand un individu fort louche, qui porte une veste en cuir marron, m’arrête et m’encourage à prendre celle de droite. Pour me la montrer il montre une main aux doigts très longs et très fins, mais à laquelle il manque l’annulaire gauche. Je le suis, malgré moi car il m’empêche de partir. Arrivée devant un gigantesque mur marron, se dressant devant ce que je devine être sa maison, un bébé me saute dessus (sisi !) pour me tenir le temps que le maître de maison ouvre la porte qui s’y trouve encastrée. Je profite de ce détournement d’attention pour mordre la main du bébé (je lui fais un trou en plein milieu du dessus de sa main, de la taille d’une main adulte, d’ailleurs). Je peux donc m’enfuir, car il m’a lâchée (je ne sais pas pourquoi, je suis persuadée que le bébé a trois mois).
Je m’en vais en courant et me réfugie dans ce qui semble être l’appart de Catie et Shanda (et franchement je me demande ce qu’elles viennent foutre là) et je leur dis de se barrer à cause du violeur. Elles décollent de la télé qu’elles regardaient (avec le mec que je cherchais dessus !), se penchent à la fenêtre tandis que je dévale des escaliers (que je ne me souviens pas avoir montés) pour me retrouver dans la rue que je viens de quitter, au carrefour du début mais dans la rue qui monte, tournée vers le mur de l’autre taré. Elles m’encouragent, je crois.
Je retrouve, au milieu de la rue, ce qui semble être un comité de vengeance des victimes puisqu’il y a une quinzaine de personnes dont deux mecs (Lénaïc et un que je ne connais pas) et la fille en face de qui j’ai mangé hier midi ^^, qui fument et attendent l’autre pervers pour le tuer. J’aimerais bien qu’on me file une clope aussi, histoire de me calmer, alors j’en demande une à Lénaïc qui me dit qu’il n’en a plus, et le mec assis en face de moi, qui mange un énorme plat de frites m’en donne une grosse poignées. Un bol de rhum apparaît immédiatement devant moi et j’y plonge les féculents (je semble croire que ça me donnera des cigarettes. Le pire c’est qu’après je les fume…Oo).
Bref, après bien des palabres, le mec se pointent et on lui saute tous dessus. Et je me réveille.
Un grand wtf j’vous disais…
Mitternacht, explications ?
mardi 20 novembre 2007
The Manor
J'ai rêvé que nous étions dans un manoir avec Simon. Cependant, toutes les personnes qui arrivaient nous demandaient où dormir. Je les redirige vers une chambre. Et je les entend hurler à la mort. Cela arrive plusieurs fois.
A un certain moment je me souviens que nous eûmes une discussion avec une grand-mère sénile.
A un certain moment je me souviens que nous eûmes une discussion avec une grand-mère sénile.
vendredi 16 novembre 2007
J'appelle mon Avocat... !
J'ai rêvé que j'allais au bureau de tabac qui se trouve à côté de l'école de Fay, dans mon quartier -- St Martin. En arrivant dans la boutique, le marchand me demande de déposer mon sac à dos sous peur d'être volé. Je lui donne; Il le met derrière le comptoir. Je vois quelqu'un dans le magasin, il cherche un magazine sur la musique nommé "Tracks", à la vision du titre on aurait plus dit "Trass" (Remarque : Plusieurs élèves ont eu la mention Pass à leur DS d'anglais récemment). Je repart de l'autre côté de la pièce et je m'aperçois que Léon est là. Il saccage la boutique, je ris. Après qu'il ait accomplit son forfait je pars. Je demande mon sac et l'homme refuse "Tant pis, si vous ne me le donnez pas j'appelle mon avocat !", aucune réaction devant ma menace. Rentré chez moi, je trouve le téléphone sans fil loin de sa base. Avant d'appeler Me Couderc, je croise Nicolas. Et je me réveille.
jeudi 15 novembre 2007
Hi, ita ?
J'ai rêvé que je me préparais à aller en Italie...
J'ai aussi rêvé que j'allais à Carrefour mais que le parking était vide, une fois ma voiture garée, je remarque que j'ai en fait un Vélo. Alors je met une protection anti-vol, mais impossible de retrouver la clé...
J'ai aussi rêvé que j'allais à Carrefour mais que le parking était vide, une fois ma voiture garée, je remarque que j'ai en fait un Vélo. Alors je met une protection anti-vol, mais impossible de retrouver la clé...
mardi 6 novembre 2007
L'Outil Plume
J'ai rêvé que j'apprenais à ma grand mère à se servir de l'outil plume sous photoshop.
lundi 5 novembre 2007
Rêve de réalité
Nota Bene : J'ai dormi chez Simon.
J'ai rêvé que je me reveillais et que je parlais dans le micro de ma DS... Le son de ma voix résonnait dans la manette de X-BOX360 de Simon...
Note : Ce genre de rêve de réalité est nommé par Freud comme un rêve de paresse.
J'ai rêvé que je me reveillais et que je parlais dans le micro de ma DS... Le son de ma voix résonnait dans la manette de X-BOX360 de Simon...
Note : Ce genre de rêve de réalité est nommé par Freud comme un rêve de paresse.
jeudi 25 octobre 2007
Salle de toilettes
Ou toilettes de bain. J'ai rêvé que la salle de bain de mes grands parents me servaient de WC, oh le beau carrelage...
mardi 23 octobre 2007
Tommyknockers ?
Nous sommes dans ma chambre, dans le noir. Floriane, d'autres, et moi. Une table de billard est étendue au sol. "Il n'en restera qu'un d'ici ce soir." dit un homme. On se jetait la boule de billard, celui qui la recevait été empalé par une queue (de billard). Quand ce fut mon tour, je jeta la boule et tua de trois coups de queue (de billard) un homme. En plein coeur.
Il ne restait plus que Floriane et moi. Nous décidâmes d'aller s'enfuir. ZERG RUSH !! Devant mon portail, que je m'apprêtais à fermer, Buck -- mon chien décédé -- voulut nous suivre; je refusais.
Second ZERG RUSH jusqu'à une demeure inconnue. Une fois arrivé, un péquenaud avec un chombli à la crapotard me proposa de regarder du Kaamelot. Je m'insurge ! Il me dit alors d'aller vers les toilettes pour me transformer en fantôme. J'y vais, je me transforme. Mais Floriane me voit et veut me tuer en me mettant une clé dans la tête. Je sort à moitié, et mon corps et mort. Pourtant je subsiste en partie...
Il ne restait plus que Floriane et moi. Nous décidâmes d'aller s'enfuir. ZERG RUSH !! Devant mon portail, que je m'apprêtais à fermer, Buck -- mon chien décédé -- voulut nous suivre; je refusais.
Second ZERG RUSH jusqu'à une demeure inconnue. Une fois arrivé, un péquenaud avec un chombli à la crapotard me proposa de regarder du Kaamelot. Je m'insurge ! Il me dit alors d'aller vers les toilettes pour me transformer en fantôme. J'y vais, je me transforme. Mais Floriane me voit et veut me tuer en me mettant une clé dans la tête. Je sort à moitié, et mon corps et mort. Pourtant je subsiste en partie...
vendredi 19 octobre 2007
Ha ha SEPHIROTH !
HA HA PLUS DE NET !
Je reposterais plus tard, c'est dommage j'avais des rêves classés pré-Y...
Je reposterais plus tard, c'est dommage j'avais des rêves classés pré-Y...
jeudi 11 octobre 2007
Staircase "Horror" Show
J'arrive au lycée, par la porte du bas comme tous les matins et après midi. A peine rentré dans le lycée que je vois Aurore et son amie de STG... J'entend mon nom, c'est Julien qui m'appelle -- Julien de 1èreS3 de l'année passée -- je lui dis bonjour et entame une discussion. Aurore m'appelle à son tour, je lui dit bonjour et zerg rush vers les escaliers.
mardi 9 octobre 2007
Blur... Plaque-Plaque ?
Bonjour,
Je ne poste plus pour le moment... Je ne rêve plus ? Si si surement, mais je ne me souviens de rien... Je note une chose : les problèmes physiques, affectifs et/ou psychiques ont des répercussions sur la mémoire onirique.
Bonne journée.
Je ne poste plus pour le moment... Je ne rêve plus ? Si si surement, mais je ne me souviens de rien... Je note une chose : les problèmes physiques, affectifs et/ou psychiques ont des répercussions sur la mémoire onirique.
Bonne journée.
samedi 6 octobre 2007
La Ceinture Verte
J'arrive au Dojo, le prof de kung fu vient me parler... Je lui explique pourquoi j'ai arrêté, problèmes de santé. Il me dit que comme j'ai toujours été le plus talentueux je mérite cette ceinture même sans recevoir d'entrainement : la ceinture verte. Je vais à un entrainement malgré mon coeur faible; tous les autres sont en blanc. Mais moi je suis en habits noirs avec ma nouvelle ceinture verte...
vendredi 5 octobre 2007
Dessine !
J'étais à une sorte de forum des métiers, on voulait m'apprendre à dessiner. Je sors alors mon carnet pour montrer que je suis un amateur du dessin. Cependant, mon carnet était vide.
mercredi 3 octobre 2007
Bienvenue les Dauvois !
Dans la chambre de mes parents, tous les Dauvois étaient là. Avec Jules on parlait de bouquins; Selon lui je devais absolument lire Harry Potter. Léon lui était allongé et lisait quelque chose... Leur Père lui s'est levé et est parti dans ma chambre pour utiliser mon pc.
J'ai aussi rêvé que Julien était devenu le voisin de mes grands parents; Je lui apportait un sac à dos avec le serveur dédié de RO.
J'ai aussi rêvé que Julien était devenu le voisin de mes grands parents; Je lui apportait un sac à dos avec le serveur dédié de RO.
mardi 2 octobre 2007
Il Faisait Jour la Nuit
Il faisait jour, j'étais au Colombier. On disait de moi que j'étais en retard au lycée.
J'arrive près d'une villa. Je rentre et vais dans leur jardin, il fait nuit. Je me retrouve nez-à-nez avec une fille nue, elle me fait des avances. Je crois avoir accepté. Après, étrangement, il fait jour. Et ses parents ainsi que son mari sortent de la villa. Ils la tuent, je sors un révolver de ma poche et j'en fais autant.
Je me réveille au cinéma, je sors et croise Benjamin. On s'engueule et se prend la tête. Je lui reproche la manière dont lâchement il a usé pour m'abandonner. Il m'offre des tickets à gratter de la française des jeux. Je les jette à terre "Un pardon aurait tout arrangé dés le départ, désormais c'est trop tard...". Je le suis jusqu'au Mag-Nab où il doit jouer, mais arrivé aux toilettes du Théatre il disparait. Je retourne en ville et gratte les tickets qui étaient toujours à terre. J'ai gagné 3000€...
J'arrive près d'une villa. Je rentre et vais dans leur jardin, il fait nuit. Je me retrouve nez-à-nez avec une fille nue, elle me fait des avances. Je crois avoir accepté. Après, étrangement, il fait jour. Et ses parents ainsi que son mari sortent de la villa. Ils la tuent, je sors un révolver de ma poche et j'en fais autant.
Je me réveille au cinéma, je sors et croise Benjamin. On s'engueule et se prend la tête. Je lui reproche la manière dont lâchement il a usé pour m'abandonner. Il m'offre des tickets à gratter de la française des jeux. Je les jette à terre "Un pardon aurait tout arrangé dés le départ, désormais c'est trop tard...". Je le suis jusqu'au Mag-Nab où il doit jouer, mais arrivé aux toilettes du Théatre il disparait. Je retourne en ville et gratte les tickets qui étaient toujours à terre. J'ai gagné 3000€...
lundi 1 octobre 2007
La bonne note
M. Favière nous rend nos DM, malgré que le mien soit hyper baclé, je reçois un 18.
Ensuite je me souviens vaguement avoir reçu une formation de combat au corps à corps.
Ensuite je me souviens vaguement avoir reçu une formation de combat au corps à corps.
dimanche 30 septembre 2007
I Have Owned Thee
Bon, je vais tenter de raconter mon rêve de cette nuit. Je ne me souviens pas de tout, et tairai peut-être ("sans tabou si cela faire se peut") certains détails, plus ou moins importants.
Tout commença tandis que je revennais de ma répétition avec l'Orchestre d'Harmonie, le vendredi soir vers dix heures. Je dépose la boîte de ma clarinette basse à la verticale, près de ma guitare éléctrique (elle-même dans sa housse). Geste hebdomadaire et habituel que je n'avais effectués pas plus tard que vendredi dernier. Sur mon bureau, une carte postale se tient sur ma pile de courrier, soit une lettre en Allemand venant d'une demoiselle prénommée Isabel, un petit mot reçu d'une amie qui vient de commencer ses études à Tours et le début d'une lettre qui n'a pour auteur que moi-même. La carte postale vient de la Rochelle, je redoute déjà les mots griffonés au dos, seize mois de retard, tout de même...
I HAVE OWNED THEE
Cela était suivi de la douce signature de ma très charmante correspondante. Horrifié, je perds le fil du rêve pendant un temps et suis incapable de vous décrire les évènements qui suivirent ma lecture.
Quelques jours plus tard, je me retrouve avec deux filles qui eurent la chance de m'avoir pour camarade de classe durant leur année de seconde. Nous sommes sur les marches menant à la cantine du lycée E. Vaillant. Pourtant, même si j'en ai aucun souvenir, je suis certain qu'aucune cantine ne se tenait derrière nous. J'observe la foule devant nous. Une jeune fille, tout juste 18 ans, se tient sur une rampe que je peinerai à retrouver dans un contexte réel. Il s'agit bien entendu de celle qui m'a envoyé la carte postale, celle-dont-le-visage-ne-peut-me-revenir-qu-en-rêve. Elle m'esquisse un sourire timide et crispé. Je suis le seul à la reconnaitre, pourtant l'une des filles qui m'accompagnent compte parmi ses meilleures amies. Je m'approche d'elle. Elle m'explique pourquoi elle est ici, mais je ne m'en souviens pas; ça pouvait être un truc aussi absurde que "pour cueuillir des framboises" ou encore "pour manger du Paris-Brest", ça ne devait avoir aucune espèce d'importance, et je la suis.
Nous parcourons le lycée, mais ce n'est pas tout à fait le lycée. D'une dimension Cthulhesque, le lycée E. Vaillant présentait d'innombrable salle qui m'était inconnue. Du moins elles m'étaient inconnues dans le cadre du lycée réel. J'y retrougvais des lieux que je n'ai pas vu depuis des années, des pièces de ma propre maison (j'y ai même vu des pièces de maisons d'autres, telles que les toilettes de chez deux fameux frêres... wtf?), des lieux que j'ai vu au cours de mes voyages, Dresde, Chicago, Galway, Assouan, tout y était. J'ai aussi reconnu des lieux beaucoup plus lointains, des lieux traversés dans d'autres rêves, des lieux rencontrés dans des livres tels que La Tour Sombre, ou dans des jeux tels que Myst. C'était une succession de déjà vu assez étrange, je dois l'avouer. Mais nous n'entrames pas dans ces salles. Nous arpentions les interminables couloirs, poussant des doubles portes battantes de plus en plus lourdes. Dans ces couloirs, j'ai croisé des gens que je connaissais plus ou moins. Certaines proches, d'autres que j'avais totalement oubliées, des rencontres oniriques aussi. Pendant ce temps nous discutâmes, et je lui exposa tout ce que je lui aurais (ai) écrit dans une lettre.
Lorsque je me suis réveillé, nous étions au bord d'un immense gouffre aux allures minières. Ce gouffre prenait place à l'emplacement du gymnase. Je crois que l'un de nous deux est tombé, mais l'identité de celui-ci n'a aucune importance.
Et puis, je me suis réveillé.
Bon, voilà pour cette nuit, du moins en résumé. Je précise que les premières lignes (celles avant la phrase en gras et en italique qui répête le titre, vous intuitez) se sont déroulées également dans le monde réel.
Tout commença tandis que je revennais de ma répétition avec l'Orchestre d'Harmonie, le vendredi soir vers dix heures. Je dépose la boîte de ma clarinette basse à la verticale, près de ma guitare éléctrique (elle-même dans sa housse). Geste hebdomadaire et habituel que je n'avais effectués pas plus tard que vendredi dernier. Sur mon bureau, une carte postale se tient sur ma pile de courrier, soit une lettre en Allemand venant d'une demoiselle prénommée Isabel, un petit mot reçu d'une amie qui vient de commencer ses études à Tours et le début d'une lettre qui n'a pour auteur que moi-même. La carte postale vient de la Rochelle, je redoute déjà les mots griffonés au dos, seize mois de retard, tout de même...
I HAVE OWNED THEE
Cela était suivi de la douce signature de ma très charmante correspondante. Horrifié, je perds le fil du rêve pendant un temps et suis incapable de vous décrire les évènements qui suivirent ma lecture.
Quelques jours plus tard, je me retrouve avec deux filles qui eurent la chance de m'avoir pour camarade de classe durant leur année de seconde. Nous sommes sur les marches menant à la cantine du lycée E. Vaillant. Pourtant, même si j'en ai aucun souvenir, je suis certain qu'aucune cantine ne se tenait derrière nous. J'observe la foule devant nous. Une jeune fille, tout juste 18 ans, se tient sur une rampe que je peinerai à retrouver dans un contexte réel. Il s'agit bien entendu de celle qui m'a envoyé la carte postale, celle-dont-le-visage-ne-peut-me-revenir-qu-en-rêve. Elle m'esquisse un sourire timide et crispé. Je suis le seul à la reconnaitre, pourtant l'une des filles qui m'accompagnent compte parmi ses meilleures amies. Je m'approche d'elle. Elle m'explique pourquoi elle est ici, mais je ne m'en souviens pas; ça pouvait être un truc aussi absurde que "pour cueuillir des framboises" ou encore "pour manger du Paris-Brest", ça ne devait avoir aucune espèce d'importance, et je la suis.
Nous parcourons le lycée, mais ce n'est pas tout à fait le lycée. D'une dimension Cthulhesque, le lycée E. Vaillant présentait d'innombrable salle qui m'était inconnue. Du moins elles m'étaient inconnues dans le cadre du lycée réel. J'y retrougvais des lieux que je n'ai pas vu depuis des années, des pièces de ma propre maison (j'y ai même vu des pièces de maisons d'autres, telles que les toilettes de chez deux fameux frêres... wtf?), des lieux que j'ai vu au cours de mes voyages, Dresde, Chicago, Galway, Assouan, tout y était. J'ai aussi reconnu des lieux beaucoup plus lointains, des lieux traversés dans d'autres rêves, des lieux rencontrés dans des livres tels que La Tour Sombre, ou dans des jeux tels que Myst. C'était une succession de déjà vu assez étrange, je dois l'avouer. Mais nous n'entrames pas dans ces salles. Nous arpentions les interminables couloirs, poussant des doubles portes battantes de plus en plus lourdes. Dans ces couloirs, j'ai croisé des gens que je connaissais plus ou moins. Certaines proches, d'autres que j'avais totalement oubliées, des rencontres oniriques aussi. Pendant ce temps nous discutâmes, et je lui exposa tout ce que je lui aurais (ai) écrit dans une lettre.
Lorsque je me suis réveillé, nous étions au bord d'un immense gouffre aux allures minières. Ce gouffre prenait place à l'emplacement du gymnase. Je crois que l'un de nous deux est tombé, mais l'identité de celui-ci n'a aucune importance.
Et puis, je me suis réveillé.
Bon, voilà pour cette nuit, du moins en résumé. Je précise que les premières lignes (celles avant la phrase en gras et en italique qui répête le titre, vous intuitez) se sont déroulées également dans le monde réel.
Quatre Aventures dans Vierzon
Cité Sellier:
Je suis dans la cité Henri-Sellier, c'est l'Automne. La ville a un ton sépia. Dans la rue, je m'avance vers un groupe de personnes allongées sur un trottoir. J'en connais une, Amaury -- j'ai été en 6°F avec. Il me propose d'aller voir un concert, j'accepte.
File d'attente du concert:
Dans une salle qui ressemble plus a une piste de skate-board qu'à une salle de concert, on distingue trois files, mais une seule semble atteindre quelque chose : la file centrale. Cette dite file mène a un autel avec dessus une grande représentation en or massif de Bouddha. J'ai envie de toucher Bouddha moi aussi... Alors je m'avance sur la file de droite, personne n'occupe ni celle ci ni celle de gauche. Je me rend compte que de ces files, on ne peut pas l'atteindre. Alors j'essaye de passer par dessous le cordon de sécurité mais un gars avec un tambour me dit :
"Hey ! On ne gruge pas !!
- J'étais là depuis des heures je peux pas changer de file ?
- Non..."
Dégouté, je retourne dans la rue pour rentrer chez moi.
Sauts dans la rue:
Je sors, et j'arrive devant Pat-à-Pain d'à côté de chez Léon en centre-ville. Je rencontre Samia Zitouni, elle me propose de me raccompagner chez moi. J'accepte. Après plusieurs fous rire on entame notre voyage mais sans que je m'en rende compte, elle disparait. Moi, j'avance à grands pas; Ou plutôt, à grands sauts. Je saute, au dessus des gens, je saute, au dessus des voitures, je saute... Et Samia disparait. Pendant que je saute je remarque que je suis dans un quartier de vieux pèquenauds paysans. Ils m'interpellent pendant mes sauts, alors je coure chez moi... Sans sauter.
Agression chez moi:
Devant mon portail, ma grand mère m'attend. Ou plutôt, quelque chose avec l'apparence de ma grand mère m'attend... Elle veut rentrer, je lui interdis. Je saute directement de devant le portail à mes escaliers avec le téléphone en main...
"- 18... Merde c'est pas ça *raccroche*, 17... *sonne*" Mon coeur commence à battre, je le sens.
"- Police Secours j'écoute ?
- Al... allo... On veut rentrer chez moi, un individu... un cambrioleur je sais pas !! VENEZ !! 6 bis rue XXXXXXX ! Pitié venez !!
- Votre nom ?
- Monsieur NXXXXX... LXXXXX NXXXXX...
- Bien comptez jusqu'à 10 *raccroche*"
Et elle était chez moi, je le sentais je l'entendais... Je jette le téléphone dans les escaliers qu'elle s'apprête à monter puis je rush la chambre de mes parents, je soulève le matelas et les lattes pour me cacher dessous. Mais j'entends des pas dans les escaliers... C'est elle, je le sens; Je le sais ! Je n'ai plus qu'à sortir de mon lit pour la frapper jusqu'à ce que je me réveille...
Je suis dans la cité Henri-Sellier, c'est l'Automne. La ville a un ton sépia. Dans la rue, je m'avance vers un groupe de personnes allongées sur un trottoir. J'en connais une, Amaury -- j'ai été en 6°F avec. Il me propose d'aller voir un concert, j'accepte.
File d'attente du concert:
Dans une salle qui ressemble plus a une piste de skate-board qu'à une salle de concert, on distingue trois files, mais une seule semble atteindre quelque chose : la file centrale. Cette dite file mène a un autel avec dessus une grande représentation en or massif de Bouddha. J'ai envie de toucher Bouddha moi aussi... Alors je m'avance sur la file de droite, personne n'occupe ni celle ci ni celle de gauche. Je me rend compte que de ces files, on ne peut pas l'atteindre. Alors j'essaye de passer par dessous le cordon de sécurité mais un gars avec un tambour me dit :
"Hey ! On ne gruge pas !!
- J'étais là depuis des heures je peux pas changer de file ?
- Non..."
Dégouté, je retourne dans la rue pour rentrer chez moi.
Sauts dans la rue:
Je sors, et j'arrive devant Pat-à-Pain d'à côté de chez Léon en centre-ville. Je rencontre Samia Zitouni, elle me propose de me raccompagner chez moi. J'accepte. Après plusieurs fous rire on entame notre voyage mais sans que je m'en rende compte, elle disparait. Moi, j'avance à grands pas; Ou plutôt, à grands sauts. Je saute, au dessus des gens, je saute, au dessus des voitures, je saute... Et Samia disparait. Pendant que je saute je remarque que je suis dans un quartier de vieux pèquenauds paysans. Ils m'interpellent pendant mes sauts, alors je coure chez moi... Sans sauter.
Agression chez moi:
Devant mon portail, ma grand mère m'attend. Ou plutôt, quelque chose avec l'apparence de ma grand mère m'attend... Elle veut rentrer, je lui interdis. Je saute directement de devant le portail à mes escaliers avec le téléphone en main...
"- 18... Merde c'est pas ça *raccroche*, 17... *sonne*" Mon coeur commence à battre, je le sens.
"- Police Secours j'écoute ?
- Al... allo... On veut rentrer chez moi, un individu... un cambrioleur je sais pas !! VENEZ !! 6 bis rue XXXXXXX ! Pitié venez !!
- Votre nom ?
- Monsieur NXXXXX... LXXXXX NXXXXX...
- Bien comptez jusqu'à 10 *raccroche*"
Et elle était chez moi, je le sentais je l'entendais... Je jette le téléphone dans les escaliers qu'elle s'apprête à monter puis je rush la chambre de mes parents, je soulève le matelas et les lattes pour me cacher dessous. Mais j'entends des pas dans les escaliers... C'est elle, je le sens; Je le sais ! Je n'ai plus qu'à sortir de mon lit pour la frapper jusqu'à ce que je me réveille...
samedi 29 septembre 2007
La Journée D'Appel
Quel troupeau, on avance dans un bureau. Je sais que je dois prendre le train... Le bureau a l'air d'un bar. Le barman c'est Jérome. Il s'assoit dans une chaise antique en bois et velours Rouge en se servant des robinets à bière. Moi je suis poussé par le troupeau, alors j'avance... Je me sens opressé, Jérome daigne répondre à mon "Bonjour", pas même un sourire... Alors je baisse la tête et fixe le laid parquet pour m'avancer dans le wagon de concentration...
vendredi 28 septembre 2007
Les Mots en classe
Assis en 507, Floriane et moi discutions... Claire se mit à m'envoyer des "combien tu veux", ils étaient petits. Sauf un, qui était plus imposant.
"Ce sont des soucis...
- C'est pas l'endroit Claire..."
J'essaye de les ouvrir mais ils ne veulent pas me céder...
"Ce sont des soucis...
- C'est pas l'endroit Claire..."
J'essaye de les ouvrir mais ils ne veulent pas me céder...
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